Une drôle histoire de sac !!!

Et comme une bévue ne m’arrive jamais seul ! Aujourd’hui  je me retrouve à la pesé du sac avec un peu plus d'un  kilo supplémentaire... douche froide ! Bref... les faits sont là et aujourd'hui la question qui se pose, dois-je prendre où pas prendre le matos bivouac… je n’en remettrai à Senor météo !  A noter que la toile de tente trouve sa place dans le sac d'où sa hauteur ! Autre solution, expédier ma toile en poste restante au Puy mi- Mai,  les condition climatique seront meilleurs ... d'où cette réflexion pourqupi se charger avant ? A noter que la toile de tente trouve à l'intétieur du sac  d'où sa hauteur ! En attendant revue de paquetage, pour donner une petite  idée sur mon sac, c’est un  peut   « borderline » comme ça, j’vous rassure chaque chose à bien sa place dans le sac ! 

 Matos bivouac : 

• Tente – matelas- Sac de couchage – bleuet – bidon 1l + gobelet alu + opinel 

Vêtements : 

• Blouson Lafuma (coupe-vent+petite pluie fine) (Possibilté de revoie par la poste en juin)

• Gilet sans manche polaire
• Pull polaire léger cou raz
• Bermuda
• 2^ième pantalon (Suivant météo en Mai)
• Collant Quechua + tee shirt long + débardeur (Pour nuit)
• Tee shirt technique long (Départ matinal)
• Chemisette (1) Tee shirt (3) technique  (Prévois perte où oubli !)
• Chaussette + Caleçon x 3
• Sandale de marche + semelle de secours (Pour renfort dès les premières  douleurs plantaires) 

Vêtements pluie : 

• Poncho + gant de pluie + gant de soie (Je crains le froid aux mains !) + pochette étanche pour smartphone
• Kway coupe vent très léger 

Divers : 

• Trousse : Toilette + étui serviette + short de bain
• Trousse : Pharmacie + couvertur de survie +  masque aviation
• Chargeur USB + frontal + mousquetons + podomètre
• Lunette correctrice de  secours + 2 étuis (lunette /nuit + smartphone/protection/chute)
• 2 bâtons
• Pochette document : Créantial + carnet/stylo + mian-mian dodo (allégé) + cartes/papiers perso
• Coquille (Pendentif au sac)
• coquillage de Palavas (La coutume veut que l’on dépose un cailloux de chez soi au Mont Irago. (Cruz de Ferro) 

                                                      Poids :  

Tenue de départ : 

• Chaussure mi-haut + Pantalon + chemisette + Chemise polaire + bretelle/baroudeur (avec 3 poches) + chapeau 

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je m'empressais l'hivers dernier de suivre les recommandations en  revendant ( voir article suivant ) mon sac de 60l "dit non conforme" pour parcourir le chemin. Eh oui, au dessus de 45l, je serai très vite  "catalogué" de pèlerins frileux ! La peur de manquer de son petit confort habituel. Vous l'aurez compris, c'est du 3ième degré, quoique ! 

Sauf qu’au fil du temps ce voyage se peaufine, avec un paramètre incontournable "la gestion du budgey".  Comment faire pour allèger ce coût et que ce dernier ne pollue pas   le voyage ? Pratiquer l'alternanace des différents formulations d'hébergement rencontré sur le chemin, il compris le bivouac... et pourquoi pas "dormir à la belle étoile" ! 

Le camping ça me connait... sauf que là, le matériel supplémentaire sera à la charge de mes épaules ! Environ deux  kilos en supplément (Tente, matelas et petit réchaud pour le café du p'tit matin). 

Et c’est là tout le paradoxe de cette l’histoire abracadabrantesque... avec un volte-face de première !  Aprés avoir revendu mon Lafuma Land Cruiser, c'est tout naturellement que j'acquérrai un Osprrey de 48 l un sac  plébiscité sur le chemin au dire du vendeur.  Mon premier achat me semblant le plus adapté à la pratique du bivouac, restait à retrouver la même référence de sac, sachant de ce dernier n'était plus   commercialisé  la  mission s'annonçait  impossible. En quelques clics, je retrouvais son frère jumeaux flambant neuf du côté d'Albertville ... c'est ce qui s'appelle retour à la case départ ! 

 Ce que j'aime dans ce modèle c'est qui s'ouvre comme une valise à l'aide de ces deux fermetures de chaque côté,  de plus une  poignée centrale très pratique pour le portage dans les transports.  L’avenir me dira si mon choix est pertinent. 

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Histoire de sac 2015

 Mon dévolu, c’est jeté sur un Osprey,  il y a de forte chance que cela  ne vous parle pas, normale moi non plus, jusqu’à hier ! Il s’agit d’une marque de sac à dos  américaine, fabriquer au Vietnam… certes j’aurai préféré un Lafuma, made in France, fabriquer en Chine !!!  

Ses caractéristiques où mon cahier des charges ! Un litrage raisonnable, pas comme son prédécesseur.  Au  printemps dernier j’ai acheté un magnifique  Lafuma Land Cruiser 65+10 de couleur marmot (2.4 kg), mais très vite j’ai compris ma « bourde ». Je ne m’en suis pas « venté » ! Je l’ai revendu au prix acheté et actuellement, il doit partir courant Mars sur le chemin de Compostelle avec Monsieur et les affaires de madame... tout fini bien.  

C’est le modèle kestrel 48,  taille M/L, existe en S/M. Préconisé pour sa polyvalence et pour des  randonnées légères, d’où mon inquiètude en voyant ce terme. Mais vite rassurer par le vendeur du Vieux Campeur de Thonon-les-Bains, Compostelle est une randonnée légère ! Car il m’explique en fait, qu’ont réalisent uniquement une successions de randonnées à la journée, avec simplement des rechanges vestimentaires et non pas une randonnée en autonomie complète. Donc je prend ACTE … nous sommes des p’tits joueurs !!!

Mais la qualité essentiel de ce sac est son poids : 1.560 kg

Lien du Vieux Campeur : ICI